- 27 février 2012, par Xavier Zimbardo
L’hôpital Cognacq-Jay a confié au photographe Xavier Zimbardo la réalisation d’un triptyque photographique destiné au salon d’accueil de la chambre funéraire. A l’occasion de cette réalisation, l’établissement accueille simultanément, une exposition haute en couleur, qui constitue une invitation au voyage en Inde, à Cuba, aux Marquises à voir jusqu’au 21 mars 2012. A cette occasion, la revue des (...)
- 26 août 2011, par Xavier Leton
J’édite à nouveau ce texte issu d’une nouvelle épistolaire. C’est la dernière lettre de cette nouvelle — mauvaise nouvelle ? C’est bientôt le dernier texte de cet « édito_d’été ».
Cette lettre marque la fin d’une histoire. C’est un coude plié qui tend la main vers le clavier. Les doigts face au désordre des lettres du clavier C’est le début d’une fin. Parce la fin dure longtemps. Amor Fati. Jamais ces (...)
- 22 août 2011, par Xavier Leton
Avez-vous vu ?
Le ricochet...
La pierre plate de mots rebondit à la surface de votre écran.
C’est à nouveau, un corps chargé d’images...
Non, vous n’avez rien vu.
Vous avez raison :
Nous n’avons rien trouvé, les réponses changent tout le temps.
Je vous sens perdu(e). Allons, reprenons, vous êtes ici
Un corps chargé d’images,
silencieux,
puis vider les mots récipients de la nuit (...)
- 1er juillet 2011, par Carole Zalberg,
Gilbert Brun
En 2008, Carole Zalberg a mené avec le photographe Gilbert Brun un dialogue photos/textes. Sur une période d’environ six mois, le photographe proposait par mail un cliché auquel réagissait l’écrivain. Ce dialogue a ensuite été exposé à la librairie La Terrasse de Gutenberg. Voici la deuxième et dernière partie.
- 27 mai 2011, par Carole Zalberg,
Gilbert Brun
En 2008, Carole Zalberg a mené avec le photographe Gilbert Brun un dialogue photos/textes. Sur une période d’environ six mois, le photographe proposait par mail un cliché auquel réagissait l’écrivain. Ce dialogue a ensuite été exposé à la librairie La Terrasse de Gutenberg.
- 5 mai 2011, par Henri Cachau,
Vincent Boisot
Ivres les armements arasaient ciel et terre
Roulaient des hautes cimes aux secrets des vallons
Leurs fracassants et fuligineux tonnerres
Apeuraient l’animal jusqu’à son compagnon...
D’un recoin d’Afrique montait une colère
S’enflait l’ire des dieux qui n’espéraient en somme
Qu’éveiller au travers de ces tribus en guerre
Cet esprit du divin qu’ils pressentaient chez l’homme...
Il faudrait le (...)
- 4 mai 2011, par Jo Ann Von Haff,
Vincent Boisot
Vous me payez et ne me regardez pas quand je vous rends la monnaie. D’ailleurs, me regardez-vous seulement lorsque je trie vos œufs ? Lorsque je vous tends votre boîte ? Vous seriez incapable de me reconnaître si j’étais loin de mon étal. Les autres marchandes et moi sommes interchangeables, nous qui vous servons chaque semaine depuis des années. Pensez-vous que nous ne sommes que ça ? Nous sommes (...)
- 3 mai 2011, par Mariana Naydova,
Vincent Boisot
Tiens-le bien, mon garçon. Oui, ce sera le manche. Il est beau, je sais ! Est-ce qu’on ne dirait pas la proue d’un navire ? Mais où aurais-tu pu voir la proue d’un navire ? Ah ! oui ! Dans ce film qui montre Ulysse attaché au mât du bateau. Tu te demandes pourquoi Ulysse était attaché de cette façon ? Est-ce que tu ne l’as pas compris ? C’était à cause du chant des sirènes. Leurs voix sont (...)
- 2 mai 2011, par Xavier Zimbardo
" Nous ne sommes pas dans les mains du destin, mais nous n’avons pas non plus le destin dans nos mains. Nous sommes plutôt les mains du destin". Romain Panikkar
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« Et si la beauté pouvait sauver le monde ? » C’est le titre d’un site remarquable, inspiré d’une phrase célèbre du grand écrivain russe Dostoïevski. Sur la page d’accueil, on lit : « La (...)
- 2 mai 2011, par Fabrice Marzuolo,
Vincent Boisot
On se demande pourquoi elle n’est pas comme les murs, gris, interminables…
Mais elle pince ses doigts délicats alors les murs sont des fleurs. Pas des fleurs pour fermer les yeux, ces fleurs œillères comme celles qu’on nous vend à longueur d’années –- elle, regarde la dignité les yeux dans les yeux, droite et souple à la fois, de cette foi en la lutte qui plie et ne rompt pas.
Je l’appelle : la femme (...)