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En réponse à :
26 octobre 2011 17:30, par Bernard Deglet
Cher Pradoc
Je me souviens précisément de cette date, le 13 mars 2008. Tapant le nom de l’auteur de « Oreille rouge », que je venais de lire et qui m’avait bluffé, j’ai découvert ce jour là l’autofictif, d’Eric Chevillard.
Depuis quelques temps je me demandais comment utiliser internet pour la création littéraire, en échappant à la logorrhée (des auteurs, des commentaires), à la glose, à la projection de soi, au recyclage de riblons... et à la médiocrité des contenus.
La réponse, c’était l’autofictif : 1/ Des textes courts, acérés, de haute tenue 2/ Pas de commentaires, pas de photos : « rien que » de la (...)