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24 août 2015, par Grégory Hosteins
On te cherche d’emblée dans la transparence de l’image, dans cet air qui circule, invisible, du sol sablonneux de l’arène, levant et couchant chaque grain de poussière, jusqu’aux cieux embués qui larmoient sur les flancs des montagnes. Mais si on sait qu’il y a de l’air dans l’image − des habitations humaines semblent occupées, tenues debout, on voit des arbres, des palmiers, des cyprès, de minuscules êtres humains aussi qui se font face à distance, et tous témoignent de la présence de cet air dans lequel (...)