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4 février 2009, par Marie-Louise Audiberti
Le cheval de Nietzsche, celui qu’il a tendrement pris dans ses bras, ce cheval maltraité par son maître et brusquement enlacé par cet inconnu à grosse moustache éperdu de compassion, je ne l’ai retrouvé, à Turin, que sur les films anciens projetés dans l’étourdissant Musée du cinéma. Oui, c’était sûrement l’un de ces chevaux fourbus qui traînaient leur charge par les rues, charrette ou fiacre. Fouette cocher, pour l’homme au bord du gouffre c’est le signe fatal. Mais c’est à Turin que naquit Ecce homo. Livre (...)