En réponse à :
8 février 2003, par Béatrice Commengé
L’information, datée du 7 Mai 1999, tenait en une ligne : "Tous les ponts sur le Danube, hormis trois, ont été atteints par les tirs..." Je n’ai pas poursuivi ma lecture. Je me suis arrêtée là. J’ai toujours aimé les ponts. Je ne crois pas être la seule. Je n’aime pas les voir mourir. Le Danube, je l’ai contemplé dans trois villes, en traversant leurs ponts. A Vienne. A Bratislava. A Budapest. Je l’ai longé, aussi, un peu plus tard, sur une route verte collée à sa rive gauche, entre Sigmaringen et (...)