En réponse à :
6 octobre 2009, par Rédaction
Après la sortie de Vies minuscules, vendu à 1 918 exemplaires seulement la première année, vous sembliez un peu amer…
Beaucoup ! J’en attendais tout. Il y a eu un grand papier dans Le Monde, c’était la une de la page Livres, ça s’est arrêté là. On raconte après coup que les V.M. ont été encensées, pas du tout. Je croyais avoir tiré en l’air mes dernières cartouches. Pendant cinq, six ans… j’ai pensé avoir raté définitivement mon coup. Gallimard ne me relançait pas, j’étais littérairement un homme mort. Je ne (...)