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14 décembre 2009, par Denis Boyer
C’est l’échelle qui crée le phénomène et, certainement, pour qui n’est pas habitué à naviguer sur le cours des musiques ambiantes, celles-ci peuvent se ressembler, ne présenter que de faibles distinctions. N’en est-il pas de même pour celui qui voit l’eau couler sans la regarder, sans en apprécier les reflets, le courant, la transparence, le fond, les rivages, la population ? Le regard, lorsqu’il se précise sur de tels détails, devient l’organe des émerveillements.
Les musiques informelles ambiantes et (...)