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12 janvier 2010, par Carole Zalberg
La joue voluptueusement abîmée dans les replis humides de son Fruit of the Loom, je ne respire pas. Ou à peine. Juste assez pour ne pas m’évanouir et rater le plus beau slow de ma vie. Mais pas trop. Parce que si c’est un rêve moi dans les bras de Napo, je ne veux pas que mon souffle trivial le dissipe. Et puis, il est fantasque Napo. Il peut avec son fameux petit sourire en coin décider de me planter là d’un baiser sur le front. Fraternel. Cruel. Et je n’aurai plus qu’à hurler le refrain à tue-tête (...)