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16 janvier 2010, par Michel Tarrier
Il était né à Paris, après une guerre mondiale qui ne laissait pas entendre qu’un demi-siècle plus tard nous entrerions, en fanfare, dans une guerre presque invisible et indolore mais plus cruelle encore, une guerre globale contre la planète, une solution finale contre la nature et ses ressources tarissables, donc contre nous-mêmes. Aux portes d’un auto-génocide. Merci les trente glorieuses, merci notre admirable progrès ! Mais les superbes tenants du système bien gardé assurent que notre vision d’une (...)