En réponse à :
13 janvier 2011, par Alexandra Bougé
Sur le chemin de la forêt, elle s’enfonçait de plus en plus jusqu’à ne plus voir la route. La terre était molle et elle s’y enfonçait à chaque pas. Elle avançait en essayant sa dea la o parte les tiges qui s’élevaient devant elle. Elle calculait son chemin au mètre près et en changeait fréquemment car il lui arrivait de devoir contourner des arbres ou des agglomérations de chablis. Elle construisait pas à pas sa route taillée dans la forêt. En contournant un tufis, elle tomba sur un enfant. À quelques (...)