Poster un message
En réponse à :
23 mai 2017 14:13, par Achille Watergutt
Un magnifique poème sous-tend ce film, oui, mais étaye aussi une terrible nostalgie coloniale. Le mal jaune, cet ambigu qui attire et qui ronge, soi-même, l’autre, et sa révolte glorieuse.
http://interlivrehypertexte.over-blog.com/2015/07/la-frontiere-est-la-peur-formelle-le-voyage-la-libre-inquietude.html