En réponse à :
17 avril 2011, par Guy Darol
Est-ce la faute aux pirates ou aux « marchandises musicales standardisées » (Adorno) si l’industrie du disque ne cesse de s’affaiblir depuis dix ans ? Sans doute existe-t-il une crise du goût que les multinationales du marché phonographique refusent de connaître. Pour autant, l’invention musicale ne meurt pas et de nouveaux labels voient le jour, attestant que les marges et l’underground valent mieux que le mainstream. Voici l’aventure d’un de ces labels qui refuse l’uniformité. Benjamin Caschera, son (...)