En réponse à :
26 novembre 2012, par Raymond Penblanc
Mettez-nous du Bach, avais-je répondu à la fille, tout en me faisant la remarque qu’avec ce visage pâle très allongé aux tempes saillantes, avec ces cheveux mi-longs très raides, d’un noir d’encre (noir corbeau) qui lui tombaient sur les épaules, elle représentait une parfaite allégorie de la mort. Sa voix grave avait quelque chose de rauque et de lointain qui remuait des choses dans mes profondeurs, que son propos d’une neutralité bienveillante rendait pourtant lisse comme le bois vernissé du cercueil. (...)