En réponse à :
1er juin 2017, par Lionel Marchetti
LA MAIN NOIRE
17 poèmes enchaînés (dont certains fragmentaires) en regard d’une photographie de ADÈLE MARCHETTI
L’ensemble est rehaussé de 17 phrases à méditer de Niu t’ou Fa Jong — maître Chan chinois du septième siècle — extraites de son Hsing Ming Le chant du cœur/esprit (traduction de Daniel Odier) La main noire — — — 1. L’OISEAU CHANTEUR
Les fougères, le trèfle, la ronce je sais déjà, je vois la liane qui m’emportera
S’allier avec le vent (plutôt que fuir)
À partir de minuit je serai (...)