En réponse à :
1er juin 2004, par Arnaud Genon
Le 27 décembre 1991, Hervé Guibert mourait des suites d’une tentative de suicide. Atteint du virus du sida et ne supportant plus sa lente déchéance - comme il l’écrivait dans sa trilogie dite du sida composée de A l’ami qui ne m’a pas sauvé la vie (1990), Le Protocole compassionnel (1991) et L’Homme au chapeau rouge (1992) - il décidait d’y mettre fin lui-même en ingurgitant une dose mortelle de digitaline. Aujourd’hui, 13 ans après sa disparition, nous disposons de l’ensemble de son œuvre puisqu’en 2001, (...)