En réponse à :
12 janvier 2006, par Roland Pradalier
Très chère amante,
Depuis notre séparation, j’ai appris que tu avais trouvé à te consoler, que deux semaines après nous être quittés, tu avais refait ta vie avec un autre homme. J’aurais aimé que tu attendes et que tu pleures davantage mais tu as préféré la consolation à la souffrance. Ce n’est que temporaire, la douleur te rattrapera, je l’espère. Ce n’est pas pour me venger que je t’écris aujourd’hui mais pour te raconter quelques détails de ma vie amoureuse depuis que je suis installé à Séoul. Je suppose (...)