En réponse à :
16 octobre 2006, par Anonyme
Il y a peu, on trouvait encore dans une des réserves de livres anciens de la Bibliothèque municipale, bien rangés sur une tablette haute, une soixantaine de livres que rien ne distinguait de leurs voisins si ce n’est leur titre et surtout leur sujet que nos prédécesseurs bibliothécaires avaient jugés susceptibles de faire courir un grand danger moral aux paisibles lecteurs de l’établissement.
Cet enfer, bien modeste par comparaison avec celui de la Bibliothèque Nationale (1730 titres) et ceux (...)