En réponse à :
2 août 2009, par Denitza Bantcheva
J’aurais sans doute dû commencer ce récit en parlant de la bohème pleunkoise, cher lecteur, et de la légende de Michel Darbois, mais il est déjà trop tard pour cela (bien qu’il n’y paraisse pas, le moment où je vais vous quitter est plus proche que le début de mon histoire). Il ne me reste pas grand choix sinon de vous fournir le morceau qui aurait formé l’ouverture la plus appropriée maintenant, inapte à faire son effet mais gardant, faute de mieux, sa valeur informative. Fermez les yeux. (Du moins pour (...)