Ce sont les martyrs du tourisme, du régime sec, les maniaques de la photo d’amateur ou de collection. Ils ont parcouru des milliers de kilomètres, ils ont même traversé des océans pour parvenir jusqu’ici, munis de jumelles, de kodaks, de Baedeker, un stylo dans la poche extérieure, un carnet de Traveller’s check dans la poche intérieure. Et, une fois sur place, des agences de tous poils leur (…)