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30 novembre 2009, par Denis Boyer
Et voilà mon silence dur fonçant sur le moindre bruit qui ose.
Jules Supervielle, La montagne prend la parole
Dans un univers sans cesse augmenté, Lionel Marchetti a installé le décor de ses pièces qu’il compose d’une façon très personnelle, à tel point que sa musique concrète est signée. C’est d’abord avec une fantomatique présence humaine qu’elle se déroule. Voix sollicitées, lues, récupérées in situ ou sur des enregistrements tiers, elles ne cherchent d’autre illustration que la grande puissance (...)