- 13 décembre 2016, par Alain Resnais,
Chris Marker
Les statues meurent aussi est un documentaire français réalisé par Chris Marker et Alain Resnais sorti en 1953. Il fut commandité par la revue Présence africaine. Un film de légende, interdit pendant dix ans.
De 1952 à 1953, Alain Resnais et Chris Marker tournent un film documentaire sur l’Art nègre dans un contexte où la décolonisation semble inéluctable. Il s’agit d’une commande. Les deux auteurs (...)
- 2 février 2016, par Robin Hunzinger
Ce film est l’histoire d’une aventure collective, et le portrait d’un homme qui n’existe que par le rapport aux autres, l’inscription dans ce qui le dépasse. Cet homme, on ne le verra pas, on verra ce qu’il a fait. On verra et entendra ce que ce fut d’aller en plein siège de Sarajevo apporter des livres, des disques, des films. Ce que ce fut, et ce que c’est d’y être resté. Ce qu’en disent ceux, (...)
- 22 août 2014, par Dan Balilty,
Simone Camilli
Gaza 22 est chronologiquement la première des deux œuvres co-réalisées sur la Palestine occupée et sur Gaza par le vidéaste italien Simone Camilli, à la fois artiste et journaliste. Celle-ci est un documentaire de création qui compose les prises de vue des deux camps en train de s’affronter et, selon les divers endroits de la Palestine et de Gaza, les réactions populaires, pendant l’offensive Plomb (...)
- 21 août 2014, par Pietro Bellorini,
Simone Camilli
Simone Camilli est le cameraman reporter et artiste vidéaste italien qui travaillait pour Associated Press, à Gaza, durant la nouvelle agression israélienne dite « Bordure Protectrice ». Ce terrible été de 2014, le 13 août à Beit Lahia, au nord de la Bande de Gaza, Camilli est mort avec son interprète gazoui et assistant aux nouvelles pour l’AP, Ali Abu Afash, dans l’explosion d’une bombe israélienne de (...)
- 20 août 2014, par Robin Hunzinger
2004-2014 dix ans de souffrances... (mise à jour de L. D.) À l’école de Gaza (août-septembre 2014) : éditorial et sommaire des articles liés ⇐
Closing your eyes est un film documentaire sur trois villes palestiniennes en train de mourir, un film sur trois formes d’enfermement et d’étouffement : la révolte à Naplouse, la résignation à Hébron, la disparition à Qalqilyah.
Closing your eyes ou comment (...)
- 17 juillet 2013, par Guy Debord
Hurlements en faveur de Sade est le premier film (réalisé en juin 1952) de Guy Debord. Il dure 64 minutes. Il est composé de séquences d’écran blanc, durant lesquelles sont énoncées par quelques voix off des phrases provenant du Code civil ou de romans d’autres auteurs, dont la signification n’est immédiate que pour elles-mêmes, alternant avec des séquences à écran noir silencieuses.
Au moment où la (...)
- 23 janvier 2012, par Park Chan-wook
Park Chan-wook, réalisateur sud-coréen de "Thirst" et "Old Boy" (Grand Prix au Festival de Cannes 2004) a réalisé Paranmanjang, (qui signifie "des hauts et des bas") premier film tourné avec un iPhone 4, et distribué en salles.
Au fin fond de la forêt, à travers un épais brouillard, un homme marche, un panier de pêcheur à la main. Il arrive au bord d’une rivière. L’homme prépare tranquillement son (...)
- 3 décembre 2011, par Guy Debord
Sur le passage de quelques personne s à travers une assez courte unité de temps, est un court métrage de 600 mètres, (20 minutes) en format 35 millimètres, noir et blanc. Produit par la DANSK-FRANSK EXPERIMENTALFILMSKOMPAGNI, il a été tourné en avril 1959. Le montage a été achevé en septembre 1959. Le commentaire est dit par les voix de Jean Harnois (voix 1), Guy Debord (Voix 2) et Claude Brabant (voix (...)
- 2 décembre 2011, par Guy Debord
In girum imus nocte et consumimur igni est un des palindromes latins anonymes mais connus, parmi les linéaires qui se lisent en miroir de gauche à droite et de droite à gauche, qui nous viennent du Moyen Âge. Il est considéré comme un puzzle à l’intérieur du puzzle, une phrase initiatique, que d’autres attribuent au diable. Mais bien sûr le film éponyme étant dédié à Ivan Chtcheglov, ce titre peut (...)
- 1er décembre 2011, par Guy Debord
Comme l’indique ce long titre, l’enjeu est bien, ici, parallèlement au commentaire d’un certain nombre de points de l’actualité politique (du programme commun de la gauche française à la révolution portugaise), d’attiser le conflit recherché avec le film précédent. La Société du spectacle privait les spectateurs d’images gratifiantes. Avec son nouveau film, Debord va plus loin en les privant non seulement (...)