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4 juillet 2015, par Aliette G. Certhoux
Quand le lyrisme du mal circule à travers la structure évolutive d’un roman, ou d’une nouvelle, alors il devient organique — il monte en puissance de façon subliminale puis advient en nécessité esthétique. C’est la sublimation du mal. Cela peut concerner le meurtre, la maladie, le jeu et toutes sortes de désirs destructeurs ou auto-destructeurs, ou de prédations, à propos desquels la liberté de penser et de créer n’est pas imputable à la morale. On découvre qu’ainsi, au détour des recherches (...)