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11 octobre 2010, par Henri de Régnier
À Paul Alfassa.
C’est un tableau très amusant. Dans une sorte de baraque foraine dont on distingue, au fond de la toile, les planches mal jointes et dont le sol est jonché de paille, se dresse une estrade basse sur laquelle parade, avec un sérieux comique et une gravité naïve, un jeune éléphant. Ses grosses jambes, dont l’une est enchaînée, supportent son corps massif. Dans sa tête aux vastes oreilles, son œil vif semble rire et, entre ses deux défenses courtes encore, sa trompe flexible pend et se (...)