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1er décembre 2011, par Guy Debord
Comme l’indique ce long titre, l’enjeu est bien, ici, parallèlement au commentaire d’un certain nombre de points de l’actualité politique (du programme commun de la gauche française à la révolution portugaise), d’attiser le conflit recherché avec le film précédent. La Société du spectacle privait les spectateurs d’images gratifiantes. Avec son nouveau film, Debord va plus loin en les privant non seulement d’images, mais aussi de tout droit de regard sur ses films.
"L’organisation spectaculaire de la (...)