En réponse à :
31 octobre 2005, par Roland Pradalier
L’éditeur à l’auteur :
Cher monsieur, Paris le 24/06/2005
Ayant pris connaissance du manuscrit que vous m’avez envoyé, et de la préface que vous lui avez adjoint, je me permet aujourd’hui de vous écrire pour vous demander la suite du texte, puisqu’il s’interrompt au troisième chapitre et que les 120 pages qui terminent le manuscrit ne contiennent que le mot « merde » répétés ad libitum. J’ai beaucoup aimé votre livre, (...)