Kenneth White
Dernier ajout : 21 février.
- 21 février, par Kenneth White
Une des définitions du postmoderne, celle de Lyotard, que l’on a déjà vue entre les lignes de la géocritique, c’est l’absence de « grands récits », comme ceux de Hegel, Comte, Marx, Huxley, Spencer… Je pense qu’il faut aller encore plus loin et tenter d’entrer dans un espace situé non seulement au-delà de tout ce qui est discours téléologique, mais en dehors de tout ce qui est mythique, religieux, (...)
- 13 février 2022, par Jean-Paul Loubes
Kenneth White, géopoétique et écologie ? En un temps où la référence à la « pensée écologique » semble incontournable, est-il possible d’évoquer la relation que certains lui prêtent avec la Géopoétique ? J’aimerais le faire depuis un point de vue critique, celui précisément que Kenneth White nous invite à avoir pour regarder le monde. Quand, en Béarn dans les années 1978-81, je militais avec les amis de (...)
- 7 juin 2014, par Kenneth White
Une théorie ? Oui. N’ayons pas peur de ce mot, qui a été écarté ces derniers temps pour laisser place à un fourmillement de bidules et de bricolages. Sans théorie, on tourne en rond, on entasse des commentaires et des opinions, on s’enferme dans l’imaginaire et le fantasme, on se perd dans le spectaculaire, on se noie dans le détail, on étouffe dans un quotidien de plus en plus opaque. Mais toute (...)
- 5 juin 2014, par {ERR} Editions de la Revue des Ressources
Né en Écosse, installé en France depuis 1967, Kenneth White se dit Écossais d’origine, Français d’adoption, Européen d’esprit, mondial d’inspiration.
Auteur d’une œuvre à multiples facettes, il a été marqué profondément par deux choses : ce qu’il a appelé les « fournaises de la ville » et le « monde blanc » des espaces naturels. D’un côté Glasgow, grand port international et ancien haut lieu de la révolution (...)
- 5 juin 2014, par Kenneth White
Ce livre a pris son origine dans une suite de questions qui me furent adressées par Régis Poulet concernant mon positionnement vis-à-vis de tous les « géo- » (géophilosophie, géocritique, etc.) qui se sont succédé ces dernières années, depuis que j’ai fondé l’Institut international de géopoétique en 1989.
Pas à pas, ce qui, au début, ne se voulait pas autre chose qu’une suite de questions-réponses assez (...)