À partir de Belgrade, commence sur la côte servienne une chaîne de belles collines dont les flancs sont couverts de troupeaux, et dont les bases, arrosées par le fleuve, doivent être d’une admirable fertilité ; mais c’est à peine si l’on y distingue quelques sillons. Un magnat hongrois, qui a plusieurs fois visité la principauté de Milosch Obrénowitch, m’assurait que l’agriculture y est encore (…)