Après trois premières années d’études supérieures en classe préparatoire littéraire à Orléans, Juliette Delobel rêve de voyage. Le train qui l’emporte s’arrête à Paris. Elle décide également de s’y poser et pour le dépaysement, entreprend un mémoire d’histoire culturelle sur la représentation de l’imaginaire extrême-oriental dans le théâtre français au début du XXème siècle, sous la direction de madame Pascale Goetschel et de monsieur Pascal Ory. Soutenu en septembre 2012 à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ce travail lui a appris que l’envie d’ailleurs ne datait pas d’aujourd’hui. Pour l’instant, elle n’a pas encore dépassé Paris.