Robert Meeropol is the younger son of Ethel and Julius Rosenberg, and founder and Executive Director of the Rosenberg Fund for Children. He is an activist, attorney, writer and public speaker. Through the RFC, Robert has assisted hundreds of children whose parents also have been attacked for their social activism.

Robert Meeropol est le fils cadet d’Ethel et Julius Rosenberg, fondateur et Directeur exécutif du Fonds Rosenberg pour les enfants. Il est activiste, avocat, écrivain, et conférencier international. Grâce à la RFC, Robert a aidé des centaines d’enfants dont les parents ont été attaqués également pour leur activisme social. (Extrait du site de la RFC).

Robert Meeropol was six years old in 1953 when his parents, Ethel and Julius Rosenberg, were executed after being convicted of Conspiracy to Commit Espionage on behalf of the Soviet Union at the height of the McCarthy era. Just before they were put to death, the Rosenbergs wrote a letter to their two sons saying they were "secure in the knowledge that others would carry on after them."
The Rosenbergs left their young sons a legacy that was both a burden and a gift, as well as an aching emotional void. Robert Meeropol grew up torn between the need to pursue his political values and his intense fear that personal exposure might subject him and his family to violence or even death.
An Execution in the Family details Robert Meeropol’s political odyssey from being the Rosenbergs’son to becoming a prominent political activist in his own right, and it chronicles a very personal journey of self-discovery. This is the story of how he tried to balance a strong desire to live a normal life and raise a family with a growing need to create something useful out of his childhood nightmare. It is also a poignant account of how, at age forty-three, he finally found a way to honor his parents and be true to himself.

Robert Meeropol avait six ans en 1953 lorsque ses parents, Ethel et Julius Rosenberg, furent exécutés durant l’ère McCarthy, après avoir été jugés coupables de conspiration d’espionnage pour le compte de l’Union soviétique. Juste avant qu’ils ne soient mis à mort, les Rosenberg ont écrit une lettre à leurs deux fils en disant qu’ils étaient « rassurés de savoir que d’autres poursuivraient après eux ».
Les Rosenberg laissèrent à leurs jeunes fils un héritage qui était à la fois un fardeau et un cadeau, ainsi qu’un vide émotionnel douloureux. Robert Meeropol grandit tiraillé entre la nécessité de poursuivre ses valeurs politiques et sa peur intense de pouvoir être l’objet d’une exposition personnelle à la violence ou même à la mort avec sa famille.
 An Execution in the Family (Une exécution dans la famille) détaille l’odyssée politique de Robert Meeropol qui consiste à être le fils des Rosenberg en devenir d’éminent activiste politique dans son propre droit, et il relate un voyage très personnel de la découverte de soi. Ceci est l’histoire du comment il a essayé d’équilibrer un fort désir de vivre une vie normale et de fonder une famille, avec un besoin croissant de créer quelque chose d’utile de son cauchemar d’enfance. C’est également un témoignage poignant de la façon dont, à l’âge de quarante-trois ans, il a finalement trouvé une façon d’honorer ses parents et d’être fidèle à lui-même.

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An Execution in the Family : One Son’s Journey, St. Martin’s Griffin ; First St. Martin’s Griffin Edition edition (June 1, 2004) @ amazon.com (Cet ouvrage n’a pas encore fait l’objet d’une traduction en français).

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Part of his restlessness stemmed from his inability to come to terms with his past. Up into his early twenties, he never revealed who his biological parents were, even to his closest friends. Ultimately, however, events forced him to acknowledge his lineage and confront the facts, plunging him into his own in-depth investigation of the Rosenbergs’ case. Eventually he was able to prove publicly that his parents’ trial had been unfair and that critical testimony against them had been tainted. He also had to acknowledge that his parents’ names would never be completely cleared. The process proved rewarding in many ways, notably because it served to reveal a greater purpose for him : In 1990 Meeropol started the Rosenberg Fund for Children to support children of political prisoners, beginning his life as an activist and offering him an opportunity to honor both his biological and adoptive parents in the process. "My parents’ resistance inspired a movement. That inspiration survived their execution," he writes. With this memoir, Meeropol hopes in turn to inspire others. —Shawn Carkonen —This text refers to an out of print or unavailable edition of this title.

Une part de l’agitation d’enfance et d’adolescencede Robert découlait de son incapacité à se réconcilier avec son passé en tant que fils. Jusqu’aux premières vingt années il ne révéla pas qui étaient ses parents biologiques, même à ses plus proches amis. Toutefois, les événements l’ont forcé à reconnaître sa lignée et à se confronter aux faits, le plongeant dans sa propre enquête approfondie sur le cas des Rosenberg. Finalement, il fut en mesure de prouver publiquement que le procès de ses parents avait été injuste et que les témoignages essentiels à leur encontre avaient été contaminés. Il a aussi compris que les noms de ses parents ne devraient jamais disparaître complètement. Le processus s’est avéré enrichissant à bien des égards, notamment parce qu’il a servi à révéler un plus grand but pour lui-même : en 1990, après la mort de son père adoptif Abel Meeropol, le Fonds Meeropol Rosenberg pour les enfants a commencé, pour soutenir les enfants des prisonniers politiques, en inaugurant sa popre vie d’activiste et dans le même processus fondant l’occasion de rendre hommage à la fois à ses parents biologiques et adoptifs. « La résistance de mes parents a inspiré un mouvement. Cette inspiration a survécu à leur exécution », écrit-il. À travers cette mémoire, Meeropol espère inspirer les autres à son tour. (Shawn Carkonen - Ce texte fait référence à une édition d’imprimer ou non disponible de ce titre.).