À Locarno, Lac Majeur
Bakounine se levait tard, nous ne pouvions donc nous rendre chez lui que vers les dix heures. Le jour était ensoleillé, de telle sorte qu’après cette lumière éclatante du dehors, sa chambre, au rez-de-chaussée, me paraissait tout à fait noire. Une ou deux fenêtres donnant sur un jardin ne laissaient passer dans la pièce qu’une faible lumière. Dans cette pénombre je (…)