En réponse à :
3 juin 2010, par Christian Kessler,
Julien Bielka
Au Japon comme en Occident, nous rappelle P-F. Souyri , l’histoire japonaise a été interprétée à partir d’une opposition tradition/modernité, avec l’année 1868 comme rupture entre l’ancien et le nouveau. Avant 1868, l’époque Edo (1603-1867) se caractérise par un système féodal dominé par les shôguns et les seigneurs avec leurs fiefs, bref l’ancien régime. Et puis à partir de 1868 et la restauration impériale, les réformes politiques du nouveau régime, l’ouverture aux lumières et aux sciences occidentales (...)