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22 janvier, par Régis Poulet
« Il est difficile de vivre et de mourir en beauté, mais il est tout aussi difficile tant de vivre que de mourir de façon profondément horrible. C’est là l’humaine condition », constate Mishima Yukio dans son commentaire du Hagakure (1967). Cette association de la mort, de la beauté et de l’horreur, trois ans avant son seppuku, n’est pas rare dans son œuvre. Dès ses quatre ans, rappelle-t-il dans Kamen no kokuhaku (Confession d’un masque, 1949), il eut le pressentiment de l’existence d’une sorte de « (...)