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30 avril 2007, par Joséphin Péladan (1859-1918)
L’obscurité des textes affecte deux formes : ou ils parurent obscurs, en leur temps, en leur lieu, par la volonté ou la faute de l’auteur ; ou ils le sont devenus, par l’abolition du milieu et la succession des jours.
Il n’est pas sûr que les contemporains de saint Jean aient mieux compris l’Apocalypse que nous : les voiles accumulés sur la pensée l’ont été à dessein ; les termes se concrétisent en images si nettes que le crayon pourrait entièrement se substituer à l’écriture du voyant.
Au contraire, le (...)