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7 novembre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
VI. L’ANTRE D’ALICE
(à Sète, en été)
Dalilah, Barman (Pedro)
12. L’arrière-boutique
13. L’échange impossible
VII. LE MONT SAINT CLAIR
Dalilah
14. Plus haut
Le Petit Navire — 12. L’arrière-boutique
Dalilah entre, de l’autre côté du miroir. Le Barman ferme la porte puis laisse retomber les lamelles multicolores.
L’arrière-boutique constitue une autre boutique donnant (...)
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25 mai 2011, par Aliette G. Certhoux
DÉDICACE. Comment nous nous sommes connus ? C’était à Vincennes, au Comité de base. Ce que nous avions de différent des autres, c’étaient les enfants. Nous avions chacun un enfant. Jean-Paul et Claudie — Je dis son nom parce que Jean-Paul l’a publié en exergue de deux de ses livres, — avaient un fils et mon compagnon et moi, déjà mariés, nous avions un fils. Mais ni Claudie ni mon compagnon — déjà (...)
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9 octobre 2010, par Aliette G. Certhoux,
Damien Spleeters
Il y a en cette demeure
un esprit emprisonné qui rêve de s’évader. *
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Part maudite et activisme littéraire
PRÉSENTATION
Damien Spleeters (né à Montignies-sur-Sambre le 9 avril 1986, près de Charleroi, en Belgique) est un jeune poète et romancier publié en Europe francophone pour ses ouvrages de librairie, lauréat du Prix Indications du Jeune Critique 2007 (attribué à son premier roman (...)
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8 novembre 2013, par Aliette G. Certhoux
Le journal quotidien du Festival en progrès et ses événements, organisés par l’association CULTURAL RESISTANCE, en partenariat avec des institutions libanaises principalement et françaises au Liban. http://culturalresistance.org/
Contents / Table des matières : — Résistance et souveraineté culturelles ↓ — Le festival : programme + infos ↓ — Deuxième action : Concours International Oscar Niemeyer ↓ — (...)
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10 novembre 2015, par Aliette G. Certhoux
André Glucksmann est mort dans la nuit du 9 au 10 novembre vient d’annoncer son fils Raphaël.
Sincèrement touchée et triste.
Le Glucks, moi je l’appelais toujours : André.
La dernière fois que nous avions pris un café ensemble, c’était avec mon compagnon place de la Bastille, où André et Françoise — Fanfan, que personnellement j’appelais aussi par son prénom, comme tous ceux que j’avais connus en (...)
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12 septembre 2010, par Aliette G. Certhoux
L’article est une recension non exhaustive et forcément subjective et lacunaire (présentation d’excuses aux protagonistes qui s’en trouveraient blessés) des actes du programme publié dans le site de la parole errante, manifestation à laquelle nous avons assisté :
LES ROMS ET QUI D’AUTRE ?
Rassemblement contre le racisme d’État...
Samedi 11 septembre 2010 à partir de 13h30
Maison de l’arbre (La (...)
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18 avril 2013, par Léon-Paul Fargue,
Aliette G. Certhoux
C’est en 1906, après le déboire du prix Goncourt, que Philippe entreprit d’écrire Charles Blanchard. Il répétait volontiers alors : Des romans ? Non, ce n’est pas cela que je veux faire, on arrange toujours un peu l’intrigue et le reste en vue du livre à 3fr 50. Je ne veux plus y songer ; et, du reste, pour ce que le "livre" vous rapporte ! Non ; j’écrirai désormais sans souci de la publication. — (...)
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12 janvier 2010, par Aliette G. Certhoux
[ Google Translate ] Cette recension des conditions internationales et locales du refuge et de l’extradition des Italiens en France depuis 1985 et après 2002 suit l’entretien de Olivier Favier avec Fred Vargas (où elle révèle des informations inédites) publié dans La revue des ressources le 26 décembre 2009, et accompagne l’appel à signatures des écrivains brésiliens qui appuient la demande d’asile (...)
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29 août 2011, par Aliette G. Certhoux
Postamour - 1. Éditorial post-estival.
Deux femmes glorieuses chantent pour un homme ; les mains en visière protégeant leurs yeux face aux sunlights, elles cherchent à repérer le leur, assis en bonne place ou en aparté parmi le public qu’elles fascinent. De ces hommes elles sont mortes. Ainsi, de femme en homme et d’homme en femmes, où les places sont interchangeables, de désastre humain en bagne (...)
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2 août 2010, par Aliette G. Certhoux
En août, on cuit les carottes sur le grill à la belle étoile.
Dédicace à Aimé Césaire.
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D’abord ///
Quand nos amis festivaliers ont quitté Paris en été pourtant la ville est tendre aux sens des flâneurs dans la tiédeur du soir aux terrasses, sous l’azur transparent du bleu pommelé, intense après le couchant... Des quelques euros nécessaires, — plutôt davantage — malgré (...)