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17 octobre 2021, par Dionys Mascolo,
Jean Texier,
Les policiers républicains (1961),
Louise Desrenards,
Maurice Blanchot
Yasmina Adi, « Ici on noie les Algériens » (2h 7’), 2011.
A l’appel du Front de libération nationale (F.L.N.), des milliers d’Algériens et d’Algériennes de Paris et de la banlieue parisienne viennent pacifiquement en famille pour défiler en masse dans la capitale, le 17 octobre 1961, contre le couvre feu qui leur est exclusivement imposé et contraint ces travailleurs à souvent devoir le (…)
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11 novembre 2013, par Louise Desrenards
À la multiple occasion synchrone tout à fait dispersée mais pourtant sensée de plusieurs événements nationaux et internationaux : la présentation publique du livre de Pacôme Thiellement Pop Yoga à la librairie Monte-en-l’air, à Paris, le 14 novembre 2013 à 19 heures... Le report à la Une de la La RdR de son article inédit sur les gnostiques... Le lancement du Festival international du film (…)
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18 avril 2016, par Louise Desrenards
Ce n’est pas un désintérêt pour Nuit Debout qui me retint à la maison, mais la grippe. À ce jour je n’ai pu visiter l’assemblée vivante de la République qu’une fois. Ce n’est là qu’une infime partie de l’iceberg étendu à des places publiques dans la plupart des villes en France et outremer, auto-constitué en multitude de commissions dans tous les domaines et dont les membres, principalement (…)
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22 novembre 2013, par Louise Desrenards
[...]
PRÉSENTATION
(ou aller directement lire l’article) :
Au moment où la guerre élargie à la question de l’Iran menace le Liban, après le double attentat suicide qui a frappé l’ambassade d’Iran et les immeubles avoisinants, à Beyrouth, [... ] sans apporter davantage de précisions sur cette guerre, à la fois civile et géostratégique, où sous couvert du combat ciblé contre le (…)
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6 décembre 2015, par Louise Desrenards
« La crise consiste justement dans le fait que l’ancien meurt et que le nouveau ne peut pas naître : pendant cet interrègne on observe les phénomènes morbides les plus variés. » Antonio Gramsci
« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le (…)
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21 juillet 2018, par Louise Desrenards
Quand la gloire du sport révèle la laideur du pouvoir politique, les Bleu laissent la lie de la coupe où le champagne national a été servi. Benalla qui n’est pas un joueur a pris une place inopportune à la vitrine de la victoire des Bleu parce qu’il fut l’agent du détournement du cortège public accéléré en dix minutes vers l’Élysée. Il n’y a pas eu davantage de Garden Party partagée avec les (…)
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30 décembre 2015, par Louise Desrenards
Ce que je vais dire maintenant n’est pas une recension de l’article cité ni d’un autre sur lequel il s’exprime, mais ce que j’en déduis par rapport à la situation en Syrie à quelques jours de la fin de l’année 2015.
Il s’agit d’une analyse de Michael Hughes dans le Huffington Post du 28 décembre, « Pentagon Mutiny on Syria Dismissed by ’Liberal’ Media » (La mutinerie du Pentagone sur la (…)
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10 décembre 2011, par Louise Desrenards
Markosel a sauvé l’euro en cassant l’Europe. Un coup de force qui ne produira pas des fruits consommables, mais qui installe la saignée ordinaire des États auxquels on vient d’implanter une canule durable pour le prélèvement permanent, malaise chronique palliatif des crises accidentelles successives ; et par conséquent loin d’en supprimer les causes, la régulation du niveau zéro économisant de (…)
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4 novembre 2015, par Louise Desrenards
Loin des fresques sur le liberticide russe de Poutine, qui raisonnablement ne devraient pas être comparées à celles de Staline ou de Hitler — ce que certains médias se permettent de brosser — et ne désirant pas mettre en rapport les pratiques liberticides actuelles des Etats-Uniens et même des Européens, qui n’auraient rien à envier à ce grand pays (chacun dans son domaine respectif), a (…)
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26 novembre 2016, par Louise Desrenards
« Ce matin, le boucher, quand j’entrai, a dit : "Le vieux Fidel est parti. Bénissez-le." Oui, répondis-je, il a fait beaucoup de bien pour son peuple et pour l’île. "Oui", dit le boucher et riant, "ce que j’aime, c’est ça : il a vu passer neuf putains de Présidents américains." » Tariq Ali
« En 2016, tous ceux qui ont fait l’histoire ont maintenant décidé d’aller y vivre, car ici c’est (…)