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17 octobre 2021, par Dionys Mascolo,
Jean Texier,
Les policiers républicains (1961),
Louise Desrenards,
Maurice Blanchot
Yasmina Adi, « Ici on noie les Algériens » (2h 7’), 2011.
A l’appel du Front de libération nationale (F.L.N.), des milliers d’Algériens et d’Algériennes de Paris et de la banlieue parisienne viennent pacifiquement en famille pour défiler en masse dans la capitale, le 17 octobre 1961, contre le couvre feu qui leur est exclusivement imposé et contraint ces travailleurs à souvent devoir le (…)
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28 septembre 2016, par Louise Desrenards
Mise à jour du 1er mars 2018 De nouveau le pire est imminent en Syrie. Appel de Pierre Le Corf contre la propagande l de la mort https://www.facebook.com/pierrelecorf/videos/10156487796069925/ [22 février 2018 - une fois encore ] [ Face à la relance de la guerre de Syrie après le bombardement américain de l’armée arabe syrienne (nationale) à Deir az-Zor, la révélation de l’attaque du convoi (…)
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22 novembre 2013, par Louise Desrenards
[...]
PRÉSENTATION
(ou aller directement lire l’article) :
Au moment où la guerre élargie à la question de l’Iran menace le Liban, après le double attentat suicide qui a frappé l’ambassade d’Iran et les immeubles avoisinants, à Beyrouth, [... ] sans apporter davantage de précisions sur cette guerre, à la fois civile et géostratégique, où sous couvert du combat ciblé contre le (…)
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26 août 2015, par Louise Desrenards
C’était pour libérer ma révolte afin que mon sommeil fût meilleur. Avant de refermer l’ordinateur l’autre nuit, j’ai ressenti la nécessité de saluer mes amis des réseaux sociaux avec une histoire belge que Guy Peellaert, qui était belge et avec lequel je travaillais au moment de l’histoire, me racontait chaque fois que nous nous opposions sur une idée concrète. Je vais la raconter parce (…)
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26 novembre 2016, par Louise Desrenards
« Ce matin, le boucher, quand j’entrai, a dit : "Le vieux Fidel est parti. Bénissez-le." Oui, répondis-je, il a fait beaucoup de bien pour son peuple et pour l’île. "Oui", dit le boucher et riant, "ce que j’aime, c’est ça : il a vu passer neuf putains de Présidents américains." » Tariq Ali
« En 2016, tous ceux qui ont fait l’histoire ont maintenant décidé d’aller y vivre, car ici c’est (…)
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22 janvier 2013, par Louise Desrenards
Sur l’actualité et les adaptations théâtrales du roman Le Maître et Marguerite (1928-1940) de Mikhaïl Boulgakov (1891-1940), et leur actualité à Paris au début de l’année 2013. Considérations à propos du renversement carnavalesque de l’histoire et de la puissance, en sorte de société des humains et de leurs croyances. Et à propos des métamorphoses aléatoires du monde cosmique que nous (…)
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21 juillet 2018, par Louise Desrenards
Quand la gloire du sport révèle la laideur du pouvoir politique, les Bleu laissent la lie de la coupe où le champagne national a été servi. Benalla qui n’est pas un joueur a pris une place inopportune à la vitrine de la victoire des Bleu parce qu’il fut l’agent du détournement du cortège public accéléré en dix minutes vers l’Élysée. Il n’y a pas eu davantage de Garden Party partagée avec les (…)
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12 septembre 2014, par Louise Desrenards
Vers le sommaire ⇓ Vers l’épilogue ⇓
ÉDITORIAL : À L’ÉCOLE DE GAZA
En mai 2013 Eugenio Amato, professeur en langue et en littérature grecques à l’Université de Nantes et membre de l’Institut Universitaire de France, organisait au Collège de France un colloque international sur L’école de Gaza. Sous ce terme, que l’organisateur modère en exprimant qu’il ne s’agit pas d’une (…)
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18 mai 2015, par Louise Desrenards
Pour en finir avec les évaluations d’opinion sur le dernier livre d’Emmanuel Todd publié au Seuil, Qui est Charlie ?... Oublions les affects et le bon sens qui enfoncent dans un puits sans fond. Réfléchissons un peu, même si cela paraît désormais faire mal à la tête ou expose à des fiches policières. « Je » n’ai pas capitulé sur la vertu du partage des libertés, aussi me paraît-il relever du (…)
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28 janvier 2013, par Laure Troubetzkoy,
Louise Desrenards
Epilogue dialogique 1. Entre Boulgakov et Maïakovski citation de Zinoviev dans la tourmente de la métamorphose néolibérale.
À 37 ans, le grand poète soviétique Maïakovski s’est tiré une balle dans le cœur, le 14 avril 1930 à Moscou, laissant derrière lui des épitaphes où il disait la fin de sa passion de vivre loin des raisons politiques « Le canot de l’amour s’est fracassé contre la vie (…)