Il y a quelques années, j’ai commis un article qui comparait les modes narratifs de “La Tempête” de Giorgione et des “Correspondances” de Charles Baudelaire. J’y indiquais, entre autres, que ce qui les rapprochait dans l’expérience du spectateur et du lecteur était la fausse unité au centre des deux compositions : en effet, si, de loin, le tableau et le poème semblent afficher une cohérence (…)