En réponse à :
19 janvier 2011, par Rodolphe Christin
Contrairement à ce qu’affirme le dicton, la nature n’a pas horreur du vide ; c’est l’homme de l’hypermodernité qui ne le supporte pas, dans le même temps qu’il se supporte plus lui-même. Plus loin il va s’oublier, plus il sème partout des signes, et moins il parvient à sortir de ses propres traces. Alors les publicitaires et la communication lui soufflent le culte de la nouveauté, des "premières", des sites encore inviolés à pénétrer, là où vivent les "derniers" peuples soi-disant authentiques, fiers, (...)