En réponse à :
2 juillet 2011, par François Rabelais
Les ouvrages de Rabelais avaient pour première vocation d’être lus gratuitement aux malades illettrés ou analphabètes, dans les dortoirs communs des hôpitaux. Même si les lettrés et mieux nantis achetaient les livres imprimés pour un certain prix chez les libraires éditeurs, gageons que transmettre l’actualité de Rabelais ravive encore une fois de crier contre l’Hadopi. En effet, tant de siècles après on enferme soudain grossièrement le géant Gargantua dans une cage trop petite pour lui... sentirait-il (...)