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17 janvier 2013, par Michel Arrivé
Le père Manouvrier n’est pas le seul qui parle de l’offre et de la demande à la lettre dans L’homme qui achetait les rêves, deux autres voix y déploient leur feuilletage du marché dont celle de la pragmatique Senhora, qui ne pourrait manquer de nous renseigner sur la truculente étrangeté, et l’implacable voix de l’auteur qui ne pourrait manquer de nous dire — ? ... Et si le polar s’agissait de la langue et de l’écrit, du corps et de l’intention, de la carte et du territoire ? Concernant la topographie (...)