Romancière, biographe, essayiste, Marie-Louise Audiberti aime passer d’un genre à l’autre. Après de nombreuses traductions d’auteurs allemands, elle publie un premier roman, Viens, il y aura des hommes, aux éditions Stock. Trois autres romans suivront, ainsi que deux biographies : Sophie de Ségur, l’inoubliable comtesse (Stock), et Brahms, un génie ordinaire (Plon). Ses derniers livres publiés sont : Robert Walser, un vagabond immobile, Gallimard, 1998, essai biographique sur cet écrivain funambulesque dont on redécouvre aujourd’hui les œuvres singulières ; Ecrire l’enfance, un voyage en littérature, éditions Autrement, en avril 2003 ; Les chemins de l’âge, essai, HB Editions, 2005 ; Stations obligées, nouvelles, L’arbre vengeur, 2008. Elle a publié L’exilée. Adèle Hugo, la fille, aux éditions La Part Commune en 2009.
Elle est aussi l’auteur de nouvelles, articles dans diverses revues, pièces radiophoniques, chroniques et émissions radio, ainsi que de deux documentaires littéraires pour la télévision.