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25 juillet 2022, par Hamid Ali Bouacida
Elle m’a dit : « J’aimerais tant devenir un nuage gorgé d’eau et pleuvoir sur ces craquelures désolées où rien ne pousse. Je me ferai orage et mes trombes verdiront alors ces contrées désertiques. Une fois disloquée, je m’exhalerai des vertes oasis et de nouveau je serai nuage. Alors j’irai vers d’autres craquelures, d’autres déserts, d’autres désolations et il en sera ainsi jusqu’à la fin des temps où je ne m’apaiserai que lorsque toute la planète ne sera plus qu’un immense trou de verdure… ». J’ai dit : « (...)