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20 mars 2013, par Buffon
Buffon fut un grand naturaliste. Mais en dépit de la qualité de ses observations, il met un peu mal à l’aise le lecteur moderne qui ne retrouve plus dans l’image du chat — dont Buffon semble hériter des siècles précédents — celle de cet animal devenu non plus domestique mais familier pour lui.
Le discours de Buffon sur la fausseté des chats, leur propension à faire le mal alors que le chien est toute sincérité, franchise et « dont tous les sentimens se rapportent à la personne de son maître », traîne (...)