En réponse à :
9 septembre 2013, par Norbert Barbe
PROSES ENGELSIENNES
1. LA PROPRIÉTÉ
La propriété je me l’imagine comme un bon gros rentier
Comme nous le peignent des livres entiers
Qui n’a jamais connu ni la famine ni le chantier
Il est gros elle est ronde c’est sa rente
Chaque mois elle rentre
Indiscutable charpente
Du capitalisme la rente
Seulement voilà
je ne connais pas de rentier
Pas un seul on nous ment je crois
Sur le sentier
Partagé d’une vie aux abois
J’ai bien connu je l’avoue de tristes juges marrons
Des avocats pardon (...)