On se demande pourquoi elle n’est pas comme les murs, gris, interminables…
Mais elle pince ses doigts délicats alors les murs sont des fleurs. Pas des fleurs pour fermer les yeux, ces fleurs œillères comme celles qu’on nous vend à longueur d’années –- elle, regarde la dignité les yeux dans les yeux, droite et souple à la fois, de cette foi en la lutte qui plie et ne rompt pas.
Je l’appelle : la femme passe-muraille.